Venise attend la montée inexorable de l’eau qui finira par l’engloutir. « Un achèvement qui ne finit pas » selon Jean-Paul Kaufmann. Venise se vide aussi de ses habitants qui ne peuvent plus assumer les loyers qui grimpent, n’y trouvent plus commerce, emploi. Une ville qui meurt du tourisme de masse. Dans un « hors-champ » volontaire, se tourner résolument vers la « Périphérie », rechercher les panneaux qui protégeraient les bords de la maquette. // Venice expects the inexorable rise of water that will eventually engulf it. "A never ending end" according to Jean-Paul Kaufmann. Venice also empties itself of its inhabitants, who can no longer assume the more and more expensive rents, can no longer find trade, nor employment. A city dying of mass tourism. In a voluntary “off-camera”, turn resolutely to the “Periphery”, look for the panels that would protect the edges of the model.
